Dans psychopathe y'a Psycho et y a pâte...

Depuis que je suis arrivé ici, je ne m'étais jamais approcher de la grande maison qu'il y a de l'autre coté du lac.
Je suis dans le monde des héros de Papa ! Il disait que ce serait affreux, que ce serait pleins de cendres et de sang !
Moi, je le trouve magnifique.
C'est... Waouh ! L'air est chaud, je n'ais plus besoins de me tenir tout contre le petit réchaud a Gaz qui me servait de radiateur l'hiver. L'air... c'est vraiment ce qu'il y a de plus génial ici !! Il sent bons, des odeurs comme dans des livres, de fleurs et d'herbes. J'ais mal a la poitrine tellement je le respite fort.
Et le soleil... J'ais cris que je devenais aveugle tellement il y avait de lumière au début !
Et puis toute cette terre ! J'aime beaucoup me roulez dedans et la sentir se coller sur moi. C'est génial !!
J'ais trouver tout un buissons avec pleins d’araignées, mais je suis contente, Toc me  préfère quand même a elles.
Mais Hier, au loin, j'ais vue une silhouette, quelqu'un.
Quelqu'un !! Je pourrais peut être lui parler... J'en ais marre de parler qu'as Toc ou a papa mort... Si je pouvais avoir autant... d'amis... que les héros de mes livres. D'ailleurs, c'est le seule chose qui me manque ici, les livres.
C'est pour trouver le garçon que je suis entrer dans la grande maisons.
Je suis passés par une porte qui donnait sur un jardinet pleins... de ... je crois que c'est des sortes de fleurs.
Après, il y avait une pièce toute blanche, éclairée de lumière, et de la poussière volait dans le l'air. Et sur les murs, partout , des instruments bizarres !
Un drôle de machin, un peu comme mon réchaud, mais en monstrueux ! Et tous ces objets étranges !! Métalliques, pointus...
Pas de doute, j'étais dans une salle de torture !!
Mes héros se faisait souvent torturés par les Américains, j'étais sur que c'étais dans des endroits comme celui-ci...
Je me penchais pour observer de plus prés une espèce de... comme un bol, mais avec une poignée... Une masse d'armes creuse ?
Soudains, j'entendis une portes s'ouvrir derrière moi et me retournais vite

Bon. Par où commencer. Debout devant le bâtiment,  Psycho regardait le soleil se lever, profitant de l'air glacé pour se remettre les idées en place. Cet endroit avait beau être assez agréable, il était trop... vide. Et cela n'était pas agréable du tout. Et puis, depuis qu'il était arrivé ici, une chose importante flottait dans son esprit tel un brouillard sans qu'il réussisse à s'en souvenir. Mais quoi ? Plus Psycho essayait de trouver la réponse, plus celle-ci semblait s'éloigner en le narguant. Cette idée le fit glousser. Souris et chat. Frères et policier... Tiens, en parlant de celui-ci ! Il n'y avait pas de temps à perdre. Retournant à l’intérieur du bâtiment, le jeune homme entreprit de trouver les cuisines. Et, cependant, alors qu'il parcourait les couloirs, ses fous-rires, causés par diverses pensées sorties directement de son esprit dément, retentissaient dans tout le bâtiment.

Mais quelque chose le fit tout arrêter, de rire, d'ouvrir la porte, et tout le reste. Psycho était passé de la folie apparente à la concentration, et cela en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire. Quelque chose, dans l'air, l'avait... ça sentait la cigarette. Et par n'importe laquelle. Se dirigeant donc vers l'endroit d'où provenait cette... odeur de fumée space, il se mit à sourire. Tout n'était pas perdu, finalement !

*****************
- E-Excusez-moi, Monsieur ?
- Hm ?
- Je ne voudrais pas vous déranger, pas le moins du monde, non-non, mais il est interdit de fu...
- Ouais, ouais, j'ai compris. Tss.
*****************

Il suffit qu'il pousse les énormes portes métalliques pour que ça disparaisse. Bah, pas grave. Enfin, pas trop. Il avait enfin trouvé la cuisine ! Mais... Le jeune homme venait de s'apercevoir que les cuisines ne renfermaient pas que des casseroles, quoique : une jeune fille se trouvait au milieu de l'immense pièce, regardant avec des yeux ronds une louche. Il n'y avait plus d’échappatoires possibles, Psycho allait devoir converser -_-

C'étais un garçons qui venait d'entrer.
En chair et en os ! Un vrais être humain ! La silhouette de l'autre coté du lac, c'étais lui !
Il étais... Waaouh ! Totalement... je n’arrivais même pas à exprimer une idée claire le concernant.
Je voulais courir vers lui, lui parlé, le touché, le sentir !
Mais je restais pétrifiée, debout avec mon arme . Je me rappelais subitement que j'étais dans une salle de torture. Peut-être étais-ce le bourreaux ?
Il avais des yeux bizarre, un peu dansant. Et un habit tout blanc.
En rentrant il avait eu l'air un peu déçue -C'étais tellement génial de pouvoir essayer... de... analyser le visage d'une vrais personne ! -
J'avais donc  déjà fait quelques choses de mal ?
Je décidais qu'il ne devait pas être le bourreaux, il avait l'air trop jeune pour çà.
Je lui tendais mon arme en signe de paix.

- Tu... tu...est qui ? ... Je suis innocente... Ne me torture pas... J'aime beaucoup te voir, et si tu devais me torturé, bein, je t'aimerais plus... et... ça fait longtemps que...

... Pardon ?! Cette jeune fille tenait une louche comme s'il s'agissait d'une arme de destruction massive. Et cela était trèès drôle. Surtout pour Psycho. Souriant de plus belle, il la regarda lui présenter son arme en signe de respect. Et il éclata de rire en se demandant ce que penserait Smart si quelqu'un faisait de même pour lui prouver son respect. Oui, effectivement, cette vision était très drôle ; si drôle qu'il du se rattraper sur le plan de travail de la cuisine pour ne pas tomber. Se redressant tant bien que mal, il dévisagea la jeune fille.

- Tu es...

***************
- Monsieur !
- Hm ?
- Je vous avais demandé de ne plus...
- Ouais, ouais ; de toute façon je dois y aller. Bye, p'tit !
***************

Mais il ne réussit pas à finir sa phrase qu'un deuxième fou-rire le prit. Et cela aurait pu continuer longtemps si, comme par magie, ou plutôt maggi dans ce cas-ci, la fameuse odeur de cigarette n'était pas réapparue. Comme la première foi, cela calma instantanément le jeune homme, qui suivit à nouveau la fumée. Malheureusement, arrivé au milieu de la cuisine, toute trace de nicotine s'évanouie pour de bon. Soupirant, un peu beaucoup déçu, Psycho se retourna vers la jeune fille ; il aurait bien aimé savoir pourquoi elle était là. Et surtout, pourquoi est-ce qu'elle se passionnait tant pour un outil de cuisine. Elle devait surement être un peu dérangée. Un peu beaucoup, tout compte fait. Et qu'elle était petite ! Et pâle ! Pire que Wheezy. Attendez... Comment cela pouvait-il être possible ? Mais le Siciliani ne voulait plus penser à Wheezy pour le moment ; c'était trop triste.