[PV Nackou] Super méga over top.

Depuis quelques jours, le monde est recouvert d'un lourd manteau. C'est blanc, et ça brille comme mille cristaux dans la lumière. C'est magique ! J’ai essayé de prendre de l'étrange matière, mais ça a fondu dans mes mains, dégoulinantes d'eau glacer.  Il fait très froid. Mais pas aussi froid que dans le bunker lorsque la chaufferie ne marchait plus. Je suis sortit me promener, dans la neige. Je crois que ça s'appelle ainsi. Papa disais qu'en Russie, il y en avait beaucoup.
J'ai les yeux qui piquent, et le menton plisser par le froid. En sortant, j’ai trouver un gros manteau vert, doublé de laine. Je l'ais enfiler, même s'il est beaucoup trop grand pour moi. Je marche dans la foret, brisants la croute dure recouvrant le sol. Je m’enfonce dans les bois. Il flotte dans l'air un parfum doux. Un parfum sucré.
Je suis l'odeur, et trouve une jeune femme, allongée a même le sol, les yeux fermer.
Je la secoue doucement. Faut pas rester là par ce temps !

-Hèèèèèèè... toi, il faut pas faire ça. Tu vas tomber malade. Alleeeeeez.

La jeune femme est transie de froid. C'est lèvres sont presque bleutées, et ses cheveux couverts de givre. Elle a l'air de beaucoup souffrir.
Un grommellement rauque et incompréhensible sort de sa bouche. Elle bat des paupières, l'air perdus.
Lentement, elle semble tomber. Elle se raccroche a mon bras. Son poids me surprend, et je suis obliger de la retenir a bras le corps pour ne pas basculer en arrière.
"D... Désolée"... Mais de quoi s’excuse t' elle donc ?  Elle a l'air paniquée. Je dois l'aider !
Mon dieu... sont corps est glacer ! La soutenant tant bien que mal avec un bras, je fait glisser mon manteau. La lourde veste s' affaisse dans la neige. Je la ramasse, et la dépose sur les épaule de la fille.

- Il fait très froid ! Il ne faut pas sortir dehors aussi peu couverte.

Mes petits bras commence a avoir du mal a la retenir. Je frissonne, l'air mordant me brulant la peau a travers mon chemisier.
Je prend les mains de la fille dans les miennes, et tente de l'entrainer vers le sentier. Je me demande comment elle c'est retrouver ici, par ce temps. Ce n'est pas très sérieux...

- Viens... il y a une grande maisons par là... tu seras au chaud... il faut me suivre...

Nous arrivons a la maison. Le froid s'évanouit dés que je rentre. Aaaaah, que ça fait du bien !
Mais apparemment, la jeune femme supporte plutôt mal c'est bouffer de chaleurs. Elle glisse, et se raccroche a moi. Elle n'est pas très lourde, mais la sortie sous la neige a été éprouvante, et mes bras la retiennent difficilement.
Alors, elle s'appelle Luaìne ? C'est un jolie nom. Cela ne fait pas Russe, mais c'est jolie.
Je m’apprête a lui répondre que moi, c'est Nackou, mais elle pousse un gémissement.
Sa cheville lui fait mal ?

- Je vais t'aider a t’asseoir

La soutenant, je la fait glisser au sol, et me penche au dessus de son pied. La glace soulage les blessures normalement, mais je ne crois pas que refroidir encore plus la jeune femme aiderait beaucoup.

- Si tu veux, il y a une infirmerie. Je ne sais pas trop quoi faire pour t'aider... tu as une idée ?

Je me pose beaucoup de questions sur cette jeune femme frigorifié. Mais ce n'est sans doute pas le moment de les poser.
Une petite marre commence a ce former a nos pied, tandis que nous dégelons.

... La souffrance semble s'atténuer, trop lentement, malheureusement.

- Des chambres ? ... oui, bien, sur a l'étage...

Je me dirige vers les escalier. J’espère qu'elle arriveras a monter les marches seule car même s'il elle n'est pas lourde, je commence a me sentir bien fatiguer moi aussi.
Nous arrivons dans le couloir, et je pousse la première porte, qui s'ouvre sur une chambre vide, simple. Un lit bordés de frais, une petite table, une fenêtre et une chaise branlante... Je ne m’habituerais jamais au monde je crois. Chez moi -quelle drôle de façon de dire-, les lits ne se faisaient pas seul. Papa m'as peu parler du monde extérieur, et je ne l’imaginais pas aussi étrange, aussi... magique.
Je souffle un peu, et lui répond que, Non, C'est normal. Elle dit me devoir la vie. Qu'elle notion étonnante. Je croyais qu'on ne devait la vie qu'a ses parents. Enfin, qu'importe.

- Attend, je reviens ! Lui dis-je en un sourire.

Je me précipite dans les escaliers, manquant de tomber a la renverse sur les marches désormais glissantes. Direction: La cuisine, ou j'utillise un petit réchaud pour faire bouillir de l'eau. Je sais qu'il y a peu d’être des appareils plus performant, mais ils sont vraiment complexe. Je vais chercher dans l'arriére cuisine un sachet de thé, et une tasse. C'est tellement agréable de boire chaud, l'hiver... Aaaah, quand j'étais petite, et que j'avais encore des précieux sachet odorant, c'était merveilleux. D’ ailleurs, depuis que je suis ici, je ne me prive pas de regouter a ce plaisir.
J'attrape la tasse en couinant -trop chaud-, et remonte les escalier. Je pousse la porte en espérant que la fille n'as pas bouger.

-... Je t'es apporter du thé ! ... Au fait, je m'appelle Nackou, dis-je en entrant dans la piéce.